Précédemment, j’ai écrit sur la Règle d’or, cette fameuse loi morale universelle commune à de nombreuses religions et philosophies. Elle nous invite à ne pas faire à l’autre ce que l’on ne veut pas qu’on nous fasse, ce qui est, en somme, une garantie de liberté pour soi, et le fondement de notre idée moderne de tolérance. La règle d’or est également une éthique de réciprocité. Mais Jésus est allé plus loin que la réciprocité en nous montrant le chemin d’un amour pro-actif.
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La loi de Jésus et l’amour du prochain
Dans notre société, on admire, on adore et on adule ceux qui réussissent dans la vie. On rend un culte à la compétence et à la performance. Et cette logique de compétition s’impose partout, du bureau à la chambre à coucher, de nos relations professionnelles à nos relations amoureuses. Et pourtant…
Jésus et la règle d’or
Avez-vous déjà pensé qu’il puisse exister une morale universelle, qui s’applique à tous les hommes, en tout lieu, quelle que soit leur culture ? Peut-on résumer l’essentiel de la morale en une phrase ? Une telle phrase existe-t-elle ? Il semblerait, oui ! Cette phrase, on l’appelle la règle d’or.
Les religieux prennent le pouvoir, et ça va mal pour le monde
De nos jours, les religions ont mauvaise presse. Les spiritualités et les pratiques de méditation, toutes personnelles, sont des cheminements respectés ; mais les opinions et pratiques religieuses, elles, n’ont pas intérêt à sortir de la sphère privée ; sinon, c’est le tollé général ! Et pour cause, dans l’opinion publique, religion rime avec intégrisme. Mais qu’en est-il vraiment ? Est-ce que tous les religieux cherchent, de façon systématique, à prendre le pouvoir ?
Les chrétiens, comme les autres religieux, sont hypocrites
La côte de popularité des religions est en baisse. On fait même souvent l’amalgame entre religion et hypocrisie. Voilà comment Wikipédia définit la religion : “système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté”. Or, dans un monde ou la liberté de l’individu prime sur le groupe, on “tape sur les systèmes” en général, sur les replis communautaires, les idéologies, et les religions.
« Je suis croyant mais pas pratiquant. »
Je trouve cette phrase absolument fascinante ! Si je la comprends bien elle veut dire : « Je crois en Dieu mais je ne vais pas à l’Église et, quand j’ai peur ou que j’ai un coup de blues, je prie pour me rassurer. »
Les chrétiens, pas meilleurs que les autres hommes.
Tu as entendu parler des croisades et des guerres de religions médiévales, ou encore du comportement de certains chrétiens, intolérants et égoïstes, qui jugent les autres sans les écouter. Peut-être qu’à cause de cela, tu as du mal à croire dans le Dieu des chrétiens, et tu te dis : “ces chrétiens, ils ne sont pas meilleurs que les autres”. Je te comprends. Mais est-ce une raison pour ne pas croire ?
Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ?
Cette question est prononcée ou pensée quand arrive un événement particulièrement déplaisant ; si déplaisant que « le bon dieu » revient sur le devant de la scène, alors qu’il en avait disparu depuis belle lurette.
Le problème des chrétiens, c’est qu’ils sont enfermés dans la culpabilité
Certaines personnes rejettent, d’un revers de main, l’ensemble de la foi chrétienne, et accusent la morale judéo-chrétienne de maintenir les gens sous une lourde chape de culpabilité. Au risque de vous étonner, je pense que cette accusation est en partie justifiée.
Les nombreuses religions sont autant de chemins vers le sommet d’une même montagne
Voici une idée d’aujourd’hui, assez répandue, sur les religions et spiritualités : elles sont autant de chemins vers le sommet d’une même montagne. Et ce chemin part de la même vallée. Au fond de nous, nous le savons bien ; nous en avons l’intuition : quelque chose ne va pas, dans ce monde, et dans notre personne aussi.