Une nouvelle morale

Pendant quelques décennies, l’Europe a traité la morale comme un souvenir du passé. On a voulu vivre dans une société qui ignorerait le bien et le mal. Cela se traduisait entre autre par le slogan « il est interdit d’interdire », hérité de Mai 68. En particulier, on refusait que le corps social pèse sur la conduite de l’individu par un regard sur les bons ou mauvais comportements. Les questions morales devenaient alors des affaires purement subjectives et individuelles.

Minimalisme, le bonheur est dans la simplicité

Dérèglement climatique, dérives du capitalisme tardif, inégalités sociales et économiques… Face à l’état du monde et de nos sociétés, nombreux sont les consommateurs à la recherche d’un mode de vie alternatif plus sain pour eux et pour la planète: les marchés du bio, de l’éthique et du durable, en plein essor, représentent plus qu’un simple phénomène de mode.

Que faire de nos scandales ?

Les scandales sont aujourd’hui une partie intégrante voire quotidienne de la vie publique et politique. On ne compte plus les affaires, depuis le Watergate jusqu’à l’affaire Maudet, en passant par Brett Kavanaugh, l’affaire Cahuzac, et mille autres. Et personne n’est a priori à l’abri, des ecclésiastiques, y compris de ma propre famille spirituelle évangélique, se sont aussi trouvés pris au cœur d’un scandale. La réaction la plus courante dans ces cas est « nier, nier, nier ». La Bible propose de meilleurs manières de réagir.