Justice et pardon #3
Justice collective La question des violences sexuelles est mise régulièrement sur le devant de la scène par les journalistes qui recueillent le témoignage de victimes …
Justice collective La question des violences sexuelles est mise régulièrement sur le devant de la scène par les journalistes qui recueillent le témoignage de victimes …
En ce début de XXIè siècle, nous avons une chance formidable comparés à tous ceux qui nous ont précédés : nous pouvons avoir accès à …
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
« Si Dieu existe pourquoi le mal ? » C’est l’objection préférée des sceptiques. Mais voilà que dans le monde, au cœur d’un déluge de souffrances, nous voyons des peuples qui font souvent référence à… Jésus !
En matière de communication, les différences sémantiques sont assez surprenantes : quand on fait la promotion d’un produit on appelle ça “publicité” ; quand on veut faire passer ses idées politiques on appelle ça “campagne” ; quand on veut manifester pour faire respecter ses droits on appelle ça “militantisme” ; quand on veut faire connaître un film on appelle ça “annonce” ; et quand on veut faire connaître une religion on appelle ça “prosélytisme”.
Je trouve cette phrase absolument fascinante ! Si je la comprends bien elle veut dire : « Je crois en Dieu mais je ne vais pas à l’Église et, quand j’ai peur ou que j’ai un coup de blues, je prie pour me rassurer. »
Cette question est prononcée ou pensée quand arrive un événement particulièrement déplaisant ; si déplaisant que « le bon dieu » revient sur le devant de la scène, alors qu’il en avait disparu depuis belle lurette.
Il y a quelques années, un institut américain situait la France dans le top 10 des pays les moins religieux du monde alors qu’un sondage révélait que 41% des français avouent être superstitieux. Ces deux résultats sont-ils contradictoires ou bien sont-ils symptomatiques d’un dédoublement de personnalité de nos compatriotes ?
Nous vivons dans un monde matérialiste, c’est un fait. En ce qui concerne les sciences, cela veut dire que rien n’existe en dehors de la matière, qu’on ne peut pas raisonnablement croire à un contrôle surnaturel ou transcendantal des événements. Au fil des décennies, ce matérialisme est devenu majoritaire, et même totalitaire au sein de la communauté scientifique. Pour un esprit rationnel, cartésien, pas question de croire à des histoires qui échappent au champ de l’expérimentation et de la logique !