Justice et Pardon #2

Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?

Justice et pardon #1

Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?

Dieu, l’hypothèse superflue de la science

Au XVIIIe siècle, un défi hante tout astrophysicien et scientifique de l’époque. Ce défi c’est un problème mathématique, c’est celui de la stabilité du système solaire. Est-ce que les trajectoires des planètes autour du soleil resteront toujours identiques ou est-ce que d’inévitables collisions sont à prévoir ? Ne risque-t-on pas de voir, un jour, une planète éjectée du système solaire ?

Une nouvelle morale

Pendant quelques décennies, l’Europe a traité la morale comme un souvenir du passé. On a voulu vivre dans une société qui ignorerait le bien et le mal. Cela se traduisait entre autre par le slogan « il est interdit d’interdire », hérité de Mai 68. En particulier, on refusait que le corps social pèse sur la conduite de l’individu par un regard sur les bons ou mauvais comportements. Les questions morales devenaient alors des affaires purement subjectives et individuelles.

Les chrétiens, comme les autres religieux, sont hypocrites

La côte de popularité des religions est en baisse. On fait même souvent l’amalgame entre religion et hypocrisie. Voilà comment Wikipédia définit la religion : “système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté”. Or, dans un monde ou la liberté de l’individu prime sur le groupe, on “tape sur les systèmes” en général, sur les replis communautaires, les idéologies, et les religions.